Trousse de couture parfaite : quel matériel ?
La trousse de couture parfaite existe t-elle ? Que l’on commence la couture ou qu’on la reprenne (que ce soit pour le plaisir ou avec d’autres objectifs), il y a un moment ou il faut forcément se pencher sur la fameuse question: de quoi ai-je besoin en couture ? Je vous propose donc en vidéo, mais aussi ici dans cet article, de vous parler en détail du matériel de base à glisser dans sa trousse de couture. Il s’adresse aussi bien aux débutants qu’aux expérimentés. Après 20 ans de couture et un diplôme de styliste-modéliste, ma trousse a peu évolué. Les besoins restent les mêmes du début au milieu de sa carrière (je n’ose parler de fin !). Prêt ?
Découvrir la trousse parfaite en vidéo par ici.
La trousse parfaite commence par le contenant !
Que l’on soit fan de trousse, de boite ou de pochette, il faudra se décider pour savoir dans quoi ranger son matériel. C’était pour moi évident de commencer par ça. Depuis mes débuts en couture, j’ai changé plusieurs fois de contenant et je vous propose de voir mes trois préférés.
La trousse
Un grand classique que l’on trouve partout déjà cousu ou à coudre. Je prend l’exemple de la trousse Mia, patron petitpatron.com, qui a longtemps été ma trousse de couture. Si l’on choisi une « simple » trousse, je vous recommande une grande ouverture comme Mia. Elle ne s’ouvre pas simplement sur le « haut » d’une pochette. Le zip tombe quasiment jusqu’en bas. Savez-vous pourquoi il ne va pas jusqu’en bas ? Pour une très bonne raison : elle risque de renverser son contenant si on l’ouvre totalement. Je vous recommande donc ce type de trousse large, avec une grande ouverture. Si elle a des compartiments, c’est top !
Les patrons qui semblent bien adaptés :
- Mia de Petit Patron : un patron simple d’esthétique mais aussi simple à monter. Il convient à un niveau débutant.
- Vanity de Normandie couture : son ouverture par le haut semble très pratique. Je n’ai jamais testé ni le patron ni la marque, je ne peux pas vous faire de retour sur la qualité du patron.
- Magique de Normandie couture : elle semble très pratique ouverte mais attention si vous devez la fermer : elle ne peut pas contenir beaucoup. Comme Vanity, je ne peux pas donner d’avis sur le patron ni la marque.
La vraie trousse de couture
Ici je pense, entre autre, à Marguerite, un patron pensé à 100% pour la couture grâce à ses multipoches. La trousse se pose droite sur la table, elle a un grand espace principal qui se ferme grâce à un lien. Tout autour, à l’extérieur, on trouve des compartiments permettant de glisser crayons, ciseaux, épingles, pinces, craie tailleur… L’objectif de la trousse est de pouvoir tout ranger et surtout, avoir tout à portée de main.
Le patron Marguerite est disponible chez petitpatron.com
La boite à couture
Quelle soit en plastique ou en bois, cette fois nous partons sur un rangement solide. Ma mère a choisi se type de rangement. La boite à couture permet de ranger sur deux voire trois étages, les différents éléments de couture. Elle se ferme totalement. En plastique, elle se transporte facilement. En bois, c’est un peu plus lourd donc moins confortable si vous devez l’apporter chaque semaine à votre cours de couture. On en trouve également recouverte de tissu pour un esprit « couture à l’ancienne ».
Ici, un modèle Bohin, coloris menthe. Il existe un modèle équivalent mais moins chou chez Prym.
Pour un modèle en bois traditionnel (mais encombrant), il y en a une chez Rascol. Et pour une version plus facile à transporter mais plus petite, chez tissus.net .
Enfin pour une version tissu, j’en ai vue une chez tissus.net
On a la trousse, qu’est-ce qu’on y range ?
Bien couper, c’est important !
Parlons maintenant ciseaux. Dans une trousse parfaite, on retrouve trois paires : une paire classique qui coupera le papier (vos patrons), une bonne paire de ciseaux de coupe et une bonne paire de brodeuse.
La classique pour le papier
Pour la paire de ciseaux pour papier, inutile de s’emballer. Une simple paire qui vous convient et que vous trouvez confortable (environ 20 cm) suffira. Rien d’exceptionnel.
La paire en métal ou la paire ergonomique
Pour les deux autres, il est recommandé de faire bien attention. Vous allez devoir choisir entre une paire tout en métal à l’ancienne et une paire ergonomique avec une poignet pour le confort.
Pour la paire en métal, quand elle est de qualité, comme une paire Nogent, la coupe est délicieuse. Mais attention, ça fait parfois mal au mains. Pour ma part je n’aime pas et pourtant au bureau, Charlotte adore.
Pour la paire ergonomique, je vous recommande une paire 21 cm, le bon compromis entre légèreté et longueur de lame suffisante pour couper tous les tissus. La qualité de la lame entraine la facilité à couper donc on coupe plus vite, on ne se fait pas mal au poignet, le tissu est parfaitement coupé et c’est agréable. Attention au premier prix de chez Action, pas cher mais pas top non plus. J’ai écris tout un article sur le sujet pour vous aider à choisir votre paire de ciseaux.
Je vous recommande au minimum la qualité Fiskars qui pour moi est un excellente rapport qualité/prix. Pour débuter elle est top et pour continuer aussi. Mais si vous cherchez la paire parfaite qui sera un régal chaque jour, j’ai eu un coup de foudre pour la paire de chez Clover. Un budget plus important mais vous ne le regretterez pas !
Paire de ciseaux broderie
La paire de brodeuse vient remplacer le découd-vite et compléter la grande paire de ciseaux. Je vous recommande les cigognes de Bohin. Pour ma part, j’ai une paire DMC qui m’a un peu déçu. Les cigognes sont la référence quand la lame est bien pointue et fine. Le prix est aussi cohérent avec la qualité. Je préfère ceux de Bohin mais en budget plus raisonnable, il y a Prym. En rapport qualité/prix et gamme du dessous, j’aime assez les Bohin à motif. Par contre, je trouve les minis ciseaux de Action inutiles car la lame est ultra épaisse. Une bonne paire de ciseaux brodeurs doit être précise grâce à une lame fine et pointue.
Pourquoi je ne parle pas de découd-vite ?
Le découd-vite est un outil très connu dans la couture, surtout amateur. Ce petit objet possède une lame courbe avec une pointe. Il sert à couper rapidement vos coutures. Son objectif est de vous faire gagner du temps, mais, à trop en gagner, on en perd souvent ! Le geste nécessaire pour couper avec son découd-vite demande un peu de brutalité. Un trou dans le tissu est vite arrivé, ou encore dans son doigts. On se retrouve parfois avec une pièce de tissu foutue à cause d’un trou ou du sang. Quand j’étudiais la mode, on m’avait bien mise en garde. J’ai fait ma têtue jusqu’au jour ou j’ai gachée le dos d’une chemise en pleine nuit. J’ai dû la recoudre entièrement et j’étais épuisée le lendemain. Depuis, le découd-vite ne fait plus partie de ma vie. Je comprends, bien sûr, qu’on puisse l’adorer. Mais depuis que je l’ai remplacé par des petits ciseaux, je n’en vois vraiment plus l’utilité. Et c’est un objet en moins dans ma trousse.
Epingles et pinces, le grand débat !
Pour maintenir les épaisseurs de son tissu, épingler son patron sur le tissu, ou marquer une zone sur sa pièce, il va falloir utiliser des outils. Vous êtes bien sûr libre de faire sans aucunes épingles ni pinces, mais même après 20 ans de couture, je continue de les utiliser. La couture est un art de précision qu’il faut impérativement respecter pour que le résultat soit joli et saillant. Pour cela, il existe des outils, ouf !
Les épingles
La base de la base, tout couturier en a une boite dans sa trousse. Vous allez voir qu’il y en a à tous les prix, de toutes les tailles, avec ou sans tête colorée… bref il y a du choix. Mais la bonne épingle est comment ?
Plates ou à têtes colorées?
Bien que je comprenne totalement l’attrait que l’on a pour les épingles à têtes colorées qui sont terriblement jolies, dans le vrai monde de la couture, nous ne les utilisons pas ! Je suis désolée de devoir vous l’annoncer. À l’origine, ce sont des épingles de fourreur. Les têtes de couleurs permettent de retrouver l’épingle dans la masse de poils. En couture classique, nous ne les aimons pas car cette fameuse tête met de la distance entre l’épingle et le tissu. Ce petit volume a tendance à déformer votre épinglage. Cela parait ridicule dit comme ça, mais 1 mm en couture c’est déjà trop ! Aussi, la tête plate (l’épingle sans boule de couleur) en plus d’être plate et donc de plaquer les épaisseurs de tissus sans volume, passe plus volontier sous la machine. En somme, si vous oubliez une épingle à tête plate, ce n’est pas un drame. En revanche, celle avec une boule va gêner la machine.
Mais quelles épingles choisir ?
Je vous les recommande en acier, pour qu’elles soient solides et ne se cassent pas. Aussi, je les aime fines et longues pour ne pas abîmer le tissu. La qualité se mesure souvent à l’épaisseur : plus elles sont épaisses, plus elles sont de mauvaises qualité. Cette épaisseur doit passer dans le tissu et c’est ainsi qu’on abime en tirant involontairement sur un des fils du tissage. Côté marque, le top du top, c’est Bohin. Du made in France de qualité, mais à un prix cohérent. Je trouve leurs épingles absolument dingues mais je ne m’en offre pas souvent car effectivement, c’est un budget et quand je vois mes stagiaires les jeter sans ménagement au sol, je suis au bord du malaise. Il existe bien sûr d’autres références de qualité, certes moindre, mais avec un rapport qualité/prix tout à fait adapté à la couture de précision. J’utilise beaucoup les Mediac par exemple.
Et les pinces ?
Le nouvel objet à la mode. J’ai longtemps évité le sujet en me disant que c’était gadget et un jour je les ai essayées… et adoptées ! La pince est un parfait complément de l’épingle. On pourra l’utiliser sur des tissus très fins qui bougent beaucoup comme le voile, la mousseline ou le crêpe. Elle permet aussi de maintenir les tissus épais qui font mal aux mains quand on les épingle comme le jean, le velours ou les lainages. Enfin, les épingles sont top pour les tissus extensibles qui bougent beaucoup comme le jersey, par exemple. D’ailleurs, si vous avez une surjeteuse, il est recommandé de n’utiliser que les pinces pour éviter d’oublier une épingle qui abimerait en 1/4 de secondes votre couteau de surjeteuse.
Pour les choisir, les adeptes d’Amazon en trouveront à un prix ridicule en gros lot de 50 ou 100 (elles cassent très vite, forcément à ce prix…). Il existe des boites chez Clover ou Mediac. Je vous recommande de vous constituer un petit lot car sur un t-shirt, on en utilise une bonne vingtaine d’un coup. Et une robe, c’est même 30 ou 35. Il existe des grandes pinces chez Clover que je trouve supers ! Pas indispensable mais vraiment top.
Et pour ne plus perdre ces épingles, il y a un objet magique !
L’aimant à épingle est vraiment une invention folle. C’est tout simplement un aimant accompagné d’un support. Avec l’aimant présent dans le support, toutes les épingles sont attirées sur cet objet. Il permet de ne plus chercher les épingles dans la boite mais aussi et surtout de les ramasser rapidement. Lorsqu’on fait tomber sa boite au sol, c’est une vraie galère que de les ramasser. L’aimant le fait pour vous et rapidement !
Il existe différents formats. J’aime beaucoup le fer à cheval qui ne prend pas trop de place même si mon coeur va vers le galet aimant. On en trouve chez Atelier Neko ou encore chez Prym. Enfin, il est tout à fait possible de le fabriquer soi-même avec un bon aimant sur une boite en métal par exemple. Pour ma part, j’ai le fer à cheval et le galet. Je ne les quitte plus !
Coudre à la main, oui mais avec quoi ?
Les aiguilles main
Forcément, c’est un autre basique. Ce n’est pas mon sujet préféré. Le monde est vaste de choix dans lequel, moi-même, je me perds parfois. Je couds très peu à la main. J’utilise les aiguilles mains pour fermer les ouvertures de projets. Du coup, j’ai deux préférences. La première est un lot d’aiguilles mode, de tailles différentes pour m’adapter à l’épaisseur du tissu. Plus le tissu est fin, plus on prend une aiguille fine pour ne pas abimer son tissu. Aussi, la longueur sera utile dans certains cas et pas dans d’autres. Le multi choix est donc vraiment pratique. On en trouve chez toutes les marques assez facilement. J’ai des aiguilles Bohin et Mediac pour ma part.
Et pour marquer le tissu ?
Il existe de nombreuses méthodes pour marquer son tissu (pince, emplacement bouton, boutonnière pression…) dont la plus traditionnelle : un morceau de fil passé grâce à une aiguille main. Mais cette méthode, bien que précise, est un peu longue. Il est possible d’utiliser différents moyen de tracer. Certains utilisent un savon comme autrefois. Je ne suis pas une grande fan de la méthode car il faut tailler le savon pour être précis mais aussi s’assurer qu’il ne marquera pas le tissu.
Il existe aussi la craie tailleur. Sa forme classique est un triangle de craie blanche (ou jaune, rouge et bleu). Il existe aussi des versions crayon ou porte-mine. Je suis une adepte de la simplicité et je n’utilise quasiment que les craies classiques blanche. Ça ne coute rien et on la garde toute sa vie (si on ne la casse pas).
Il est possible également d’utiliser des feutres effaçables à l’air ou à l’eau (un peu cher) ou encore les stylos Pilote Frixion qui partent sous la chaleur du fer. Nous en avons au bureau. Attention, quand il fait très froid l’encre revient ! Utilisez au maximum sur l’envers du tissu.
La base, mais ne l’oublions pas
L’épingle de sureté aussi appelée épingle à nourrice est un indispensable en couture. Nous en avons tous qui trainent dans nos tiroirs. Pensez à en glisser des grandes dans votre trousse de couture. On s’en sert pour glisser cordon et élastique dans les glissières des vêtements.
Recopier son patron
L’indispensable
On a tous besoin, à un moment, de recopier un patron. Quand on le sort d’un magazine ou avec un patron pochette. Il vaut mieux garder la planche d’origine intacte pour la reprendre plus tard si besoin. Pour recopier, nous avons besoin d’un outil de tracé. Il existe la roulette ou le poinçon. Les deux sont très pratiques. On glisse une grande feuille blanche, puis par dessus, sa planche patron. Avec la roulette ou le poinçon on vient marquer la ligne patron qui nous intéresse. Il ne restera plus qu’à relier les points avec son crayon de bois. Je vous ai fait un article complet sur cette méthode ici.
Je suis une fan du poinçon que j’utilise aussi pour préformer les trous de mes futures pressions. La team Petit Patron préfère la roulette. Les deux sont top top top.
Le non indispensable, mais pratique
En début d’article, je vous parlais de mon non amour des gadgets. Je ne crois pas qu’il faille investir dans une tonne de matériel. Je préfère mettre dans la qualité de mon tissu. Mais je dois tout de même reconnaitre que certains outils sont pratiques ! En exemple, la reglette à ourlet qui permet de tracer les ourlets sur papier ou marquer sous le fer en peu de temps et sans calculer ! J’ai fait tout une vidéo sur le sujet qui est visible ici : vidéo reglette ourlet.
Et enfin, le mètre ruban
Nous en avons quasiment tous déjà un dans un tiroir. Il est bien sur indispensable car vous devez prendre vos mesures systématiquement avant chaque nouveau patron pour vérifier votre taille. Ne l’oubliez pas ! Mètre ruban classique chez Atelier Neko.
Votre trousse est maintenant constituée, prêt à coudre ?
Merci pour tous ces conseils !
J’ai hérité une grande partie de ma boîte à couture de ma grand mère (notamment la boîte en osier et tissu à fleurs orange très années 60) et je viens de découvrir à quoi servent certaines choses ! Par contre j’ai du tomber sur un mauvais lot d’épingles Bohin … Les miennes accrochent, n’ont des fois pas de tête … Du coup, je fais très attention à celles de ma grand mère, de bien meilleure qualité … D’ailleurs elle avait aussi des épingles à tête de couleur mais la tête était bien plus petite que celles d’aujourd’hui et bien moins ronde (comme une petite goutte), je comprends maintenant pourquoi elle pestait contre celles de ma mère !
Il y a cependant une chose pour laquelle je ne vois pas à quoi cela sert, c’est un ruban blanc en double avec des pressions plastiques qui vont par 3, quelqu’un aurait-il une idée ?
Merci pour ton blog et tes patrons qui donnent envie de se mettre à coudre des vêtements ! Jusque là je me suis contentée des accessoires …
Hello, est-ce un lot d’épingles dont tu as hérité ? si oui elles sont peut être trop usé justement. Même un épingle peut s’abimer mais en général on les perd avant d’avoir le temps de les utiliser de trop. Pour le ruban, tu me poses une colle, je n’en ai aucune idée ^^
Merci pour ta réponse !
Non les épingles de mauvaise qualité ce sont celles que j’ai achetées moi-même, avant d’hériter de celles de ma grand-mère.
Je suis trop contente que mon amie m’ai fait connaître votre blog ! Je viens de m’inscrire à un cours de couture et d’acheter une machine Brother alors tous vos conseils (les indispensables) sont une mine de bons conseils ! Merci ☺️
Oh merci pour ton message ! Bonne couture et bonne aventure alors :D
Merci Margaux ! Je suis novice, je me perds au milieu de tous les avis… Par exemple, suite à votre article et vidéo je suis allée consulter les avis des épingles bohin, le paquet jaune et vert, extra-fines. Il n’y a pas unanimité, certains disent qu’elles accrochent ou qu’elles ne sont pas assez fines ou pas assez longues. En fait, je m’aperçois au fil de mes recherches que l’unanimité n’existe pas en couture. Il me semble que je doive acheter et tester par moi-même le matériel. Aïe pour mon porte feuille… Mais je suis contente voir vos vidéos pleines de bonne humeur et d’écouter vos arguments. Merci !
Hello, tu viens de faire un parfait résumé car effectivement nous avons tous nos préférences, nos techniques et besoins qui influent sur notre jugement du matériel. C’est toujours difficile de donner un avis car justement c’est le notre et peut être pas celui du voisin. En tout cas, même si pour certains elles ne sont pas parfaites, Bohin offre tout de même une qualité qui assure un label « valeur sûre ». Et même si tu peux estimer qu’il y a mieux, elles restent d’excellentes qualités pour moi.
Merci pour ta réponse Margaux. J’apprécie de connaître l’expérience des couturières et je vois que tu mentionnes aussi les avis de ta team même si vous ne les partagez pas toujours. Belle honnêteté. Je suis une grande indécise freinée par mon pénible perfectionnisme (j’y travaille), qui aimerait acheter le matériel parfait et ne jamais faire d’erreurs. Or force m’est de constater qu’en couture comme dans tout, mes erreurs… m’apprennent beaucoup ! Comme pour votre découd-vite (oups). Allez, je m’en vais faire des tests ;)))
Hello, merci pour ton retour. Je trouve important de noter les avis aussi des filles avec qui je travaille car nous avons tous nos préférences et nos avis. Il n’y a pas une personne qui a la raison et le reste du monde qui se trompe (du moins à mon avis).